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BioZone, la solution la plus puissante pour purifier l’air du SARS-CoV-2

Le laboratoire indépendant américain BCS Laboratories a testé les dispositifs BioZone en matière de purification de l’air pour vérifier leur efficacité contre le SARS-CoV-2, virus qui cause la Covid-19. Les tests ont montré une inactivation du virus SARS-CoV-2 supérieure à 5 log, soit plus de 99,99%, en moins d’une seconde d’exposition aux dispositifs.

Ces dispositifs permettent de purifier l’air sans utilisation de produits chimiques. Ils utilisent une technologie rassemblant 5 mécanismes différents et indépendants de purification réunis en une seule technologie développée par la NASA et brevetée. Contrairement à de nombreuses autres technologies présentes sur le marché, la technologie BioZone ne se résume pas à l’utilisation isolée des lampes UV, des ions ou de l’ozone. C’est la combinaison mesurée de cinq mécanismes qui en fait la meilleure technologie qui soit pour la décontamination de l’air et des surfaces en continu et en présence humaine (voir encadré).

Les tests ont été réalisés par BCS Laboratories, un laboratoire de Floride (États-Unis) certifié ISO/IEC 17025, accrédité par l’US Centers for Disease Control, l’US Environmental Protection Agency, l’US Department of Agriculture et le Florida Department of Health.

Les tests ont été conçus pour modéliser le temps d’exposition par rapport à l’inactivation du virus SRAS-CoV-2 dans le flux d’air en mouvement dans les systèmes de chauffage, ventilation, climatisation (CVC). Les résultats de ces tests publiés le 10 décembre 2020 montrent que les dispositifs BioZone permettent d’inactiver les virus, dont le SARS-CoV-2, en moins d’une seconde.

Zoom sur la technologie BioZone

À l’intérieur de l’appareil, l’oxydation photocatalytique décompose les Composés Organiques Volatils (COV) tels que le méthane ou le benzène et les lampes UV-C brevetées de BioZone exercent leur pouvoir germicide en éliminant les bactéries, moisissures, micro-organismes et virus.

À l’extérieur de l’appareil, BioZone utilise un processus photochimique pour produire du PhotoPlasma (plasma froid d’oxygène) qui contient des molécules réactives, des ions, des électrons et des radicaux qui détruisent et décomposent activement les structures biologiques et chimiques des contaminants atmosphériques, y compris les virus.

Ce PhotoPlasma contient :

  • un oxygène très réactif et énergisé qui désinfecte l’air ;
  • un taux maîtrisé d’ozone (conforme aux normes d’exposition européennes et mondiales) qui élimine les bactéries, moisissures, micro-organismes et les virus ;
  • des ions négatifs qui augmentent l’efficacité du processus en supprimant les impuretés et les poussières en suspension dans l’air.

Ce PhotoPlasma a été testé et vérifié pour être extrêmement puissant contre les virus aéroportés et déposés sur les surfaces.

La gamme BioZone propose deux types de solutions.

Elle s’adapte à des problématiques ciblées de purification d’air dans certains espaces comme des bureaux, des vestiaires, des sanitaires, au travers de la gamme EASY avec des appareils autonomes, prêts à l’emploi à fixer ou à poser.

Elle se décline également pour des problématiques plus techniques aux applications industrielles et commerciales, grâce à la gamme TECHNIC implantée directement au cœur des systèmes CVC ou réseaux de centrales de traitement de l’air (CTA), permettant ainsi d’assurer une destruction des virus à 100% à l’intérieur des bâtiments.

Voir l’article sur le site Batinfo.com

Source : PARUTION Batinfo.com

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Désinfection sans contact : quelle technologie choisir ?

Beaucoup de matériels et produits vendus ne servent malheureusement à rien et peuvent même aggraver la situation initiale en favorisant l’encrassement des surfaces ! Quel que soit l’environnement, et en particulier dans des lieux sensibles comme les établissements de santé, la désinfection, avec ou sans contact, ne peut s’envisager qu’après un nettoyage approfondi des surfaces. Désinfecter sans nettoyer est une aberration absolue et il faut bien dire que la crise actuelle donne lieu à des situations extrêmes, avec une multiplication de matériels qui sont au mieux inopérants… », s’emporte Emmanuel Delhomme, associé dirigeant de la société Deppik, spécialisée dans la maîtrise et le contrôle des contaminations.

Avant d’opter pour une technologie ou un protocole de désinfection, il convient impérativement d’effectuer une analyse de risque et de bien identifier les zones et surfaces à désinfecter. Un audit en hygiène peut faire gagner beaucoup de temps, d’argent et améliorer la sécurité, en exposant les gens à moins de chimie. Les acheteurs se basent souvent sur un prix sans aborder vraiment l’aspect technique de la prestation. Une bonne analyse de la situation et des protocoles à mettre en oeuvre pourra offrir un meilleur résultat, plus écologique et souvent moins cher à l’usage.

ON NE DÉSINFECTE PAS L’AIR !


Encore récemment, une collectivité lançait un appel d’offres pour l’achat de cartouches de gaz aérosol à dégoupiller pour « désinfecter » l’air. Une solution inutile qui n’a d’autre effet que polluer l’atmosphère et encrasser les surfaces ! « Dans un autre domaine, nous sommes intervenus dans une crèche où une désinfection du sol était faite régulièrement, mais sans rinçage. Le résultat a été très parlant : un passage de Rotowash avec de l’eau ozonée, plus un nettoyage à la vapeur ont permis d’extraire une eau très noire et de rendre le sol propre. Les agents d’entretien qui interviennent sur place pensaient bien faire, oubliaient ou n’avaient pas le temps de rincer le sol…

L’action mécanique de la laveuse combinée et de l’eau déminéralisée ou ozonée suffit à faire disparaître 70 % à 80 % des germes présents. Le produit utilisé peut être efficace mais son mauvais usage peut être très préjudiciable. L’emploi de microfibres de plus en plus performantes est aussi une solution simple à mettre en oeuvre, mais qui produit un résultat de qualité dans les environnements où ce type de nettoyage est bien adapté », poursuit le dirigeant de Deppik.

LA DSVA DOIT S’ADAPTER AUX EXIGENCES


La désinfection des surfaces par voie aérienne (DSVA) connaît un développé très important depuis quelques années, dû notamment à l’utilisation du peroxyde d’hydrogène, et à la facilité de mise en oeuvre de ce protocole qui ne nécessite pas la présence d’un opérateur. Cette évolution est aussi le fruit d’un intérêt grandissant pour les techniques de nettoyage et de désinfection vertes, c’est-à-dire biodégradables. « La DSVA n’est pas un concept qui se vend sur catalogue. Cette technologie doit s’adapter aux exigences et aux réalités de l’espace à traiter. La crise de la Covid a braqué les projecteurs sur la désinfection et nous a permis, au travers de notre expertise, de mettre en place des protocoles de désinfection efficaces et adaptés en fonction des utilisateurs ! », analyse Romain Rouleau, directeur général de la société Oxy’Pharm, présente depuis plus de vingt ans dans le secteur de la santé notamment.

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Source : PARUTION Bâtiment Entretien N°333